Avec 2 500–2 800 heures de soleil par an sur la Méditerranée et une eau estivale à 22–26°C (18–21°C sur l’Atlantique), la plage offre un confort climatique fiable.
Cette stabilité permet de planifier des vacances sereines, où l’on profite vraiment de chaque journée sans jouer à la loterie météo. Le vent marin rafraîchit sans étouffer, et l’horizon dégagé apaise immédiatement. Qu’on veuille nager, lire ou jouer sur le sable, les conditions s’y prêtent presque quotidiennement en saison.
Accès rapide et bas carbone: Paris–Marseille ≈3 h en TGV, Paris–Bordeaux ≈2 h, et près de 1 200 km de Vélodyssée longent le littoral pour y aller à vélo.
La mer se rejoint facilement pour un week‑end improvisé, sans voiture ni embouteillages interminables. Les gares côtières arrivent au cœur des villes, et l’intermodalité train + vélo ou bus dessert directement les plages. Résultat: plus de temps sur le sable, moins de temps en transit et une empreinte carbone réduite.
Plus de 5 000 km de côtes en métropole, et des milliers de kilomètres outre‑mer, offrent un choix quasi infini de plages et d’ambiances.
Criques méditerranéennes protégées, grandes baies atlantiques pour le surf, dunes de la Manche, lagons ultramarins: chaque envie a son décor naturel. On peut choisir entre plages urbaines animées et étendues sauvages, eaux calmes pour familles ou vagues pour sportifs. Cette diversité garantit des vacances vraiment à la carte, année après année, sans répétition.
La plage incarne une convivialité et un art de vivre qui rassemblent: simplicité des moments partagés, gastronomie marine et culture du plein air.
A l’heure dorée, l’apéritif face au couchant, les marchés aux poissons, huîtres ou bouillabaisse, et les festivals en bord de mer célèbrent ce qui nous est cher: le goût du lien et des plaisirs simples. Les espaces ouverts favorisent les rencontres intergénérationnelles, du château de sable au concert sur la promenade. Sans équipement lourd ni technicité, chacun trouve sa place et se reconnecte à l’essentiel.